Benjamin Constant y va un peu fort en souhaitant le malheur à «l'homme qui, dans les premiers moments d'une liaison d'amour, ne croit pas que cette liaison doit être éternelle… ». La chair n'a-t-elle pas été faible de tout temps ? Et bien plus aujourd'hui que hier, hélas. Alors, souhaitons à l'homme et à la femme que leur liaison dure le plus longtemps et le plus sereinement possibles.
Ceci mis à part, ce couple enlacé est merveilleusement exécuté. Et lui, va certainement passer à la postérité.